Cigarette électronique : Constituants de sa vapeur et effets sur la santé

Une cigarette électronique est un outil électronique qui simule le tabagisme. Il se compose d’un atomiseur, d’’une batterie et d’un conteneur. Au lieu de fumer, l’utilisateur inhale de la vapeur. Ainsi, l’utilisation de cette cigarette est souvent appelée « vapotage ». L’atomiseur atomise une solution liquide nommée e-liquide. Quels sont les constituants de sa vapeur et quels sont ces effets sur la santé ?

Constituants de la vapeur de la cigarette électronique

Il existe différents types de cigarettes électroniques. Si vous voulez les connaître, consultez ce site internet . Les cigarettes électroniques créent de la vapeur qui est composée de particules. La vapeur de cigarette électronique contient moins de produits chimiques toxiques, à des concentrations plus faibles que la fumée de cigarette et vice versa. Comme produits chimiques toxiques pour l’organisme, nous avons le propylène glycol, la glycérine, la nicotine, des arômes, d’autres substances toxiques, les cancérogènes, les métaux lourds. Sa constitution varie et dépend de plusieurs facteurs, dont le comportement de l’utilisateur.

Effets sur la santé

Les effets de la cigarette électronique sur la santé restent incertains, mais ils sont probablement moins nocifs que le tabagisme. Les avantages et les risques de ces cigarettes électroniques pour la santé sont incertains. Il existe des preuves qui stipulent qu’ils peuvent aider les gens à arrêter de fumer. Une étude a révélé qu’ils semblent avoir le potentiel de réduire le décès et les maladies liés au tabac. Quant aux risques, les effets indésirables moins graves comprennent des douleurs abdominales, des maux de tête, une vision floue, une irritation de la gorge et de la bouche, des vomissements, des nausées et de la toux. Les cigarettes électroniques produisent des niveaux tout aussi élevés de particules dans l’air comme le font les cigarettes de tabac. Un examen a révélé que les cigarettes électroniques augmentaient le risque d’asthme de 40 % et de maladie pulmonaire obstructive chronique de 50 %.